ENERGIES SERVICES FRANCE
S’ENGAGE ET PROTÈGE LA
PLANÈTE EN SOUTENANT
LE PROJET TIERRA MADRE

RÊVE, ENGAGEMENT ET AUDACE…

Au départ, il y a Adrien et Fahimeh, un jeune couple bruxellois. Lui est ingénieur, elle est diplômée en droit. Ils rêvent d’une vie en harmonie avec la nature et d’action quotidienne pour la protection de l’environnement…

En 2008, à peine sortis des études, ils se rendent au Costa Rica, ont un coup de cœur et deviennent propriétaires de 60 ha au cœur de la jungle. François, un cousin d’Adrien, se joint à l’aventure et part le premier lancer les travaux d’aménagement. Leur projet solidement élaboré, Adrien et Fahimeh s’envolent pour le Costa Rica en janvier 2012.

Ils construisent eux-mêmes les bâtiments de leur écolodge et de leur ferme, et développent une activité agricole qui leur garantit une autosuffisance.

LA FERME JOUE UN RÔLE CENTRAL À TIERRA MADRE, ELLE EST LE PRINCIPAL FOURNISSEUR EN PRODUITS FRAIS ET BIOS.

Procédés de culture traditionnelle sans machine à moteur, rotation des cultures, usage d’engrais naturels, animaux nourris à base de grains et de fourrages produits localement, tout est fait pour respecter l’écosystème et combattre l’émission de gaz à effet de serre.

Parallèlement à leurs activités agricoles, Adrien, Fahimeh et François œuvrent à la reforestation et à la protection des animaux sauvages.

Ils se sont lancés dans un véritable projet de sanctuarisation de 40 hectares sur les 60 que compte leur propriété, par le passé entièrement défrichés pour l’élevage.

En reconstituant une jungle endémique, ils permettent de :

  • Recréer le cycle originel de la forêt tropicale,
  • Mettre à disposition une réserve pour la faune et faire revenir les grands fauves,
  • Capturer de grandes quantités de CO2.

« À mesure que la forêt s’étendait et que la nature reprenait ses droits, nous avons été ravis de pouvoir profiter du spectacle des toucans et des perruches chaque jour plus nombreux, des dindes et agoutis de plus en plus présent lors de chaque balade. Les singes se sont eux aussi fait plus nombreux, leurs cris se faisaient entendre quotidiennement, et au bout de seulement 5 ans nous avons aperçu les premiers félins. » ADRIEN, PROPRIÉTAIRE DE TIERRA MADRE AU COSTA RICA

FERMEZ LES YEUX ET IMAGINEZ…

Vous êtes à 440 m d’altitude, dans la province de Guanacaste à l’extrême Nord du Costa Rica, à quelques pas de la frontière nicaraguayenne, à une heure de marche de toute présence humaine.

Sous vos pieds, un plateau qui s’étire en une longue crête et descend progressivement à 130 m, jusqu’à un corridor biologique, zone protégée de 2 km de large. Autour de vous, la forêt s’étend à perte de vue, les cris des singes et d’oiseaux vous immergent dans une vie intense et sauvage, les parfums mêlés vous enveloppent. Au loin se dessine le lac Nicaragua et se dressent les volcans Maderas et Concepcion.

Il fait chaud, une brise légère vous berce de fraîcheur, vous êtes bien, vous êtes à Tierra Madre.

REFORESTATION

POURQUOI PLANTER DES ARBRES ?

Planter des arbres endémiques de la jungle, à fleurs ou à fruits, de différentes espèces et de tailles variées, c’est permettre de recréer la forêt tropicale et de ramener la vie sauvage qui la caractérise.

On connaît tous le rôle essentiel de ces arbres dans la capture du CO2 et leur impact positif contre le réchauffement climatique. Ainsi, 30 m2 de jungle mature captent l’équivalent d’un vol aller-retour Paris – Berlin ! On connaît moins le rôle qu’ils jouent dans la limitation du lavage des sols et l’évaporation de l’eau. Ils apportent de l’humidité et font baisser les températures au sol (4°C de moins qu’un terrain défriché), rendant la saison sèche plus douce pour tout l’écosystème concerné.

Leur espace naturel est rendu aux animaux sauvages. La déforestation les avait privés de leur habitat et de leur terrain de chasse, les exposant à la chaleur et au manque de nourriture, les poussant vers les villes et mettant en danger les populations, tant humaines qu’animales.

ÉNERGIES SERVICES FRANCE & TIERRA MADRE

QUAND AMITIÉ ET ENGAGEMENT SE RENCONTRENT…

JFM*, QUI ÊTES-VOUS ?

Fondateur et dirigeant d’Énergies Services France, j’ai toujours eu à cœur d’agir pour l’environnement. Cela fait partie de mes engagements et anime mes actions. Le choix de mon activité, le développement d’une source d’énergie propre, en témoigne. Et pour être totalement cohérent, les panneaux photovoltaïques que j’installe sont fabriqués en Europe, afin de limiter l’impact du transport et proposer des produits de qualité, qui ont une durée de vie de 35 à 40 ans.

COMMENT EST NÉ VOTRE PROJET DE MÉCÉNAT AVEC TIERRA MADRE ?

C’est le fruit d’un heureux hasard ! J’ai toujours eu le goût des voyages et je connais bien l’Amérique latine pour avoir passé une partie de mon enfance au Mexique. Il y a 2 ans, mon épouse et moi sommes partis en vacances au Costa Rica, à la recherche de nature sauvage et de rencontres avec les habitants.

Sur place, nous nous sommes laissés guider par nos envies et sommes arrivés à l’ÉcoLodge Tierra Madre. Au cours de notre séjour, nous avons sympathisé avec Adrien, Fahimeh et François, qui nous ont fait découvrir la beauté des lieux, leur philosophie de vie et leurs actions concrètes.

Nous sommes tombés sous le charme et avons beaucoup échangé sur nos points de vue et nos engagements en faveur de l’environnement. Notre amitié nouvelle et la convergence de nos convictions m’ont convaincu de soutenir leur projet de reforestation et de création d’un sanctuaire de la vie sauvage.

QUELLE FORME PREND VOTRE ACTION DANS CE PROJET ?

ESF s’engage à reverser une partie de son chiffre d’affaire à Tierra Madre. Pour l’année 2021, nous nous sommes fixés comme objectif de financer la reforestation d’1/2 hectare, ce qui représente la plantation de 200 arbres. Il faut 25 m2 pour permettre à un arbre de se développer et recréer l’écosystème de la forêt tropicale.
* JFM – JEAN-FRANÇOIS MÉZIÈRES, PRÉSIDENT D’ÉNERGIES SERVICES FRANCE

COSTA RICA

LEADER MONDIAL DANS LA PROTECTION DE LA NATURE

À l’arrivée des Européens au XVIème siècle, le Costa Rica était presque entièrement recouvert de forêt vierge. Seules quelques zones étaient défrichées pour les besoins agricoles des peuples amérindiens. Avec le développement de l’industrie agroalimentaire mondiale, promouvant des monocultures à grande échelle (bananes, ananas, café et canne à sucre) et l’élevage bovin intensif, ce taux de couverture est passé de 75% en 1950 à 26% en 1983.

A la fin des années 80, le gouvernement costaricien prend conscience des ravages et des dangers de cette déforestation massive. Dès les années 90, la volonté de reforestation et de protection de l’environnement est forte. Plusieurs programmes de conservation des forêts sont lancés. Des ONG voient le jour et œuvrent à la reforestation. Des parcs nationaux et réserves naturelles sont créés et garantissent actuellement la protection d’un quart du pays.

À CE JOUR, LA FORÊT TROPICALE RECOUVRE 50% DU TERRITOIRE.

Le Costa Rica reste mobilisé pour la protection de l’environnement et se fixe des objectifs ambitieux (atteindre la neutralité carbone en 2021 par exemple). En 2019, l’ONU lui a remis le prestigieux prix Champions de la Terre pour son rôle dans la protection de la nature et son engagement contre le réchauffement climatique.

La Faune et la flore du Costa Rica

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